Esforcos Em Um Ginasio

Dans le cas du tirant, nous avons remplacé la liaison articulé dans le nœud 9 par une liaison appui. Ce changement rend la structure isostatique. Par contre, son comportement ne sera pas le même qu'avant vu qu'il n'y aura rien qui empêchera le déplacement horizontal du 9ème nœud. Ainsi, nous ajoutons une force horizontale, appelé force de précontrainte, pour compenser ce déplacement.

Nous avons commencé l'étude avec un tirant égale à 0 et on voit bien que le comportement de la structure n'est pas tout à fait le même. Le nœud 9 se déplace considérablement et les barres à l'intrados que avant étaient sollicitées qu'en compression, deviennent sollicitées en traction. De plus, les contraintes maximales dépassent la limite élastique de l'acier utilisé.

Ensuite, en utilisant une force égale à 200KN, nous avons un comportement de la structure proche de ce qu'on avait dans le cas bi-articulé, la structure ne se déplace pas horizontalement; Néanmoins, les bars à l'intrados commencent à être sollicitées en compression. De plus, nous avons diminué considérablement le déplacement vertical à la clé et les contraintes maximales;

Par dichotomie, nous avons trouvé que par F=244KN, nous avons une structure qui présente le même comportement que celle dans le cas biarticulé, compression à l'intrados et l'extrados et pas de déplacement du 9 nœud; Si on augmente plus cette force, voire l'exemple prochain, il y aura un inversement du comportement de la structure, avec l'extrados sollicité en traction. De plus, il y aura du déplacement au niveau du 9 nœud et les contraintes maximales augmentent considérablement.

Pour conclure, nous avons pu dimensionné, dans le cas biarticulé, la bar la plus sollicitée en compression dans le cas du flambement, avec une épaisseur de 1,9cm.

De plus, en choisissant la bonne valeur pour le tirant, il est possible d'avoir une structure avec un comportement similaire au niveau des déplacements dans les appuis mais avec des valeurs de contraintes moins importantes