Analyse - Poème Chanson
Por: Hadassa Rodrigues • 9/8/2019 • Resenha • 956 Palavras (4 Páginas) • 320 Visualizações
Analyse - Victor Hugo
Poème Chanson
À propos du poème: Chanson est un poème écrit par Victor Hugo en 1853. Il était un important écrivain romantique français du XIXe siècle.
Chanson est un poème de plusieurs autres poèmes avec le même titre. Le poème est appelé Chanson à cause de sa musicalité, rendant les versets rythmés comme de la musique. Son thème est sur les questions politiques et sociales, la principale caractéristique de l'auteur, ainsi que la conscience toujours sociale, avec une position progressive. Le verset qu'il répète toujours à la fin des versets est: "On peut vivre sans douleur." Dans ce poème, le travailleur assidu est valorisé et mis en valeur.
Rime: ABABBCDCE croisee
Strophes 10 Strophes ( 7 strophes de 9 vers, 1 strophe de 10 vers, 1 strophe de 6 vers et 1 strophe de 3 vers)
Vers: 82
Sylabbes: 7
Versets répétés: - On ne peut pas vivre sans pain; M C
On ne peut pas non plus vivre sans la patrie.F E
Example rime Masculine: Outil, Dupin, pain, crépin, pain, miel, ciel, Pépin, pain, maillet, travaillait, Papin, l’ouvrier, février, lapin, pain, paysan, viens-nous en, l’escarpin, pensifs, transalpin, souffrir, mourir, reprit, Néron-Scapin, champs, chants
Example rime Feminine: Pense, laitue, abattue, tue, prie, patrie, l'atelier, chaumière, l'escalier, claire, grand'mèr, coquetterie, patrie, seigles, espiègles, aigles, métairie, patrie, femme, l'âme, flamme, nourrie, patrie, fourrière, arrière, barrière, Hongrie, patrie, Jacqueline, mousseline, colline, fleurie, patrie, entière, cimentière, altière, chérie, patrie, livre, vivre, délivre, flétrie, patrie, naître, fenêtre, être, prairie, patrie.
Rime riche: fenêtre, être - espiègles, aigles - l’ouvrier, février - arrière, barrière, cimentière, altière
Rime: suffisante: prairie, patrie - miel, ciel - nourrie, patrie - métairie, patrie
Rime pauvre: laitue, outil - pain, crépin - Pépin, pain, - laitue, abattue
Victor Hugo
POÈME CHANSON
A quoi ce proscrit pense-t-il F 1A
A son champ d'orge ou de laitue, F 2B
A sa charrue, à son outil, M 3A
A la grande France abattue. F 4B
Hélas! le souvenir le tue. F 5B
Pendant qu'on rente les Dupin M 6C
Le pauvre exilé souffre et prie. F 7D
- On ne peut pas vivre sans pain; M 8C
On ne peut pas non plus vivre sans la patrie.F 9E
L'ouvrier rêve l'atelier, F 10F
Et le laboureur sa chaumière, F 11G
Les pots de fleurs sur l'escalier, F 12F
Le feu brillant, la vitre claire, F 13G
Au fond le lit de la grand'mère. F 14G
Quatre gros glands de vieux crépin M 15C
En faisaient la coquetterie. F 16E
- On ne peut pas vivre sans pain M 17C
On ne peut pas non plus vivre sans la patrie. F 18E
En mai volait la mouche à miel M 19F
On voyait courir dans les seigles F 20G
Les moineaux, partageux du ciel M 21F
Ils pillaient nos champs, ces espiègles, F 22G
Tout comme s'ils étaient des aigles. F23G
Un château du temps de Pépin M 24C
Croulait près de la métairie. F 25E
- On ne peut pas vivre sans pain; M 26C
On ne peut pas non plus vivre sans la patrie.F 27E
Avec sa lime ou son maillet M 28H
On soutenait enfants et femme F 29I
De l'aube au soir on travaillait M 30H
Et le travail égayait l'âme. F 31I
Ô saint travail ! lumière et flamme! F 32I
De Watt, de Jacquart, de Papin, M 33C
La jeunesse ainsi fut nourrie. F 34E
- On ne peut pas vivre sans pain; M 35C
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